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Interview : Le jeûne et les émotions, à radio Oloron.

par Marie-José Sibille

Découvrir le jeûne comme expérience globale, un interview de Marie-José Sibille sur son dernier livre, par Hélène Clairefond de Radio Oloron, émission Des Livres et Moi.                                          

J'y développe en particulier le pouvoir sur soi que permet le jeûne, ainsi que son actualité dans une société où la décroissance devient vitale.
 

Programmation musicale remarquable aussi. En particulier la dernière chanson sur l'anorexie.
 

Merci de vos commentaires et partages.

Le dépouillement du jeûne donne accès à la lumière. Toutes les lumières.

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B
J'ai fait des tests, très coûteux et pas remboursés, des traitements également longs et coûteux... pour pallier une intolérance aux FODMAP et une difficulté d'assimilation des protéines végétales, d'où carences si je ne mange pas de protéines animales. Je viens enfin d'améliorer considérablement mon état, au niveau intestinal et digestif, du sommeil, de l'énergie, sans compter une perte de poids bénéfique, en faisant un jeûne de 7 jours (parce que je ne suis pas arrivée à 10 jours, ce que je regrette, mais je recommencerai). J'étais très fatiguée pendant le jeûne, j'aurais dû accepter de ne rien faire pendant ce temps. Mais l'énergie que j'ai trouvée après me met en joie. Et je peux éventuellement manger chou, oignons, poireaux, pois chiches à tous les repas sans en souffrir. Sans compter que je mange beaucoup moins, sûre que ma vie sédentaire ne nécessite pas l’ingestion de toute cette nourriture, 3 fois par jour, « pour ne manquer de rien ». Bref, décidément, le jeûne est une hygiène de vie qui devrait être encouragée par les médecins, au lieu d’engraisser Big Pharma. J’ai par ailleurs été un peu submergée par les réactions hostiles et véhémentes de mon entourage devant cette pratique : ce qu’on met dans son corps suscite des émotions carrément violentes, intenses. Pourtant, je ne me suis jamais sentie aussi bien. Après avoir fait des parcours du combattant pour lutter contre certaines dépendances, dont le tabac et l’alcool, je trouve dans cette pratique au contraire beaucoup de douceur et de joie. Et je suis de plus en plus convaincue que je suis mieux placée qu’un médecin pour décider ce qui est bon pour moi, à condition bien sûr d’avoir documenté le sujet.
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M
Merci Béatrice de ce commentaire éclairant !<br />